Le parc animalier à Ziniaré

Situé à 30 Km à l’Est de Ouagadougou, le parc animalier de Ziniaré est plein d'attractions fascinantes qui attirent les voyageurs aventureux. Il abrite des animaux en semi-libertés et entoure la résidence du Président Compaoré et celle de son frère François. Ce parc constituait à son ouverture dans les années 90 un réel motif de fierté pour le Burkina Faso et la ville de Ziniaré, chef-lieu de la région du Plateau central. Vous y trouverez des zèbres, gazelles, lions, phacochères, oiseaux, des autruches, éléphants, buffles, et les fameux hippopotames. Le parc est bien vaste et il faudra prévoir une voiture si vous voulez tout visiter sans vous fatiguer. Il dispose de guides qui connaissent bien le parc et les animaux. En espérant que tous les pseudos parcs de ce genre disparaissent à jamais ! Il faut bien conserver ce parc car il est d’une importance capitale pour la génération montante. Combien sont-ils ces enfants qui ne connaissent les animaux sauvages que par la télé ? Cette initiative est à conserver car elle permet en même temps de pérenniser certaines races en voie de disparition.
Voici un Diaporama(en dessous) sur Le parc.





 Si vous avez le gout de l'aventure, essayez d'aller par le plan ci-dessous.

Les Ruines de Loropéni



Les Ruines de Loropéni sont situées dans le sud-ouest du Burkina Faso, à environ 40 km à l'ouest de la ville de Gaoua. Le site était autrefois une ville fortifiée entourée par un haut mur de 6 mètres de pierre. Il y a eu beaucoup de travail archéologique qui ont été fait avant que l'histoire de la région ne soit bien connue.
Les traditions orales recueillies depuis la découverte des ruines désignent les Koulango comme bâtisseurs des forteresses de la région. Mais les enquêtes récentes révèlent que les Koulango ont eu pour ancêtres les Lorhon et les Nabé, lesquels venus du Mandé ont produit et commercialisé de l’or dès les Xème et XIème siècles dans la région de Kong.
Les premières recherches archéologiques sur les Ruines de Loropéni font ressortir plusieurs niveaux d’occupation dont les plus anciens remontent au XIème siècle. Arrivés dans la région à la fin du XVIIème siècle, selon leurs propres traditions, les Gan ont dû réoccuper des enceintes abandonnées, qu’ils vont à leur tour abandonner, suite au décès de Tokpa Farma, un de leur roi, de suite d’une grave maladie. L’enceinte que les populations ont refusé d’habiter, en raison de la maladie, puis du décès du roi est devenue sacrée et fait l’objet de sacrifices destinés à conjurer les problèmes qui se posent à la communauté ou à certains de ses membres. La durée d’utilisation de la forteresse a certainement été beaucoup plus longue que ne veut bien le laisser penser la tradition orale.
Les Ruines de Loropéni ont été inscrites le 26 juin 2009 par l’UNESCO, sur la liste du Patrimoine mondial de l’humanité. A partir de cette date, le site des Ruines n’a de cesse d’accueillir des visiteurs, notamment des touristes, des chercheurs, des autorités politiques qui, pour une raison ou une autre, se retrouvent dans la région du Sud-ouest dont le chef-lieu est Gaoua.
Aujourd'hui, les ruines sont envahies par les arbres et les grands murs croulants. Leurs secrets sont encore à être révélés, et il y a beaucoup de travail passionnant archéologique à faire.
pour plus d'info sur ce site consulter: HISTORIQUE ET DÉVELOPPEMENT


 



La vieille mosquée de Bobo Dioulassoba



Un des faits saillants de Bobo est la Vieille Mosquée construite en 1893 par l’Almani Sidiki SANON, elle est un exemple exceptionnel de l'architecture de terre soudanaise.

L'intérieur se compose de deux sections de prière : une pour les hommes, l'autre pour les femmes. La section des hommes est divisée en 4 compartiments, la section des femmes est un compartiment couvert plus ou moins ouvert à l'arrière.

La structure blanche de la Mosquée avec ses tours coniques et ses montants en bâtons de bois sombres est très spectaculaire. Le bâtiment a une harmonie de style qui immédiatement le rend captivant à première vue.
Cette  mosquée de Bobo est la plus grande mosquée au Burkina Faso.

Elle est située près de l’hôtel de ville dans le vieux quartier situé au centre de la ville de Bobo-Dioulasso,  La mosquée est très réputée et fréquentée  par des très nombreux touristes et fidèles.

Il n'y a pas de problème pour les non-musulmans d’entrer dans la mosquée, mais avant, il faut avoir été invité à le faire. Ne repartez pas de votre visite sans la terminer sur le toit, où vous aurez une vue magnifique sur les deux tours principales. Vous verrez en dessous un diaporama sur cette mosquée.



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Les Pics de Sindou

Les Pics de Sindou, situés à une quarantaine de kilomètres de Banfora ( à l’ouest de Banfora) sont des pics rocheux naturellement scultés par les vents, les rendant ainsi intéressants à visiter au pays des hommes intègres. Ces rochers en grès s’élèvent dans le ciel en longues aiguilles tordues et bien sculptées. Site mystique et sacré chez les Sénoufos, un peuple du Burkina Faso, autrefois utilisé par les habitants de la région pour se protéger des incursions ennemies et lieu de cérémonies d’initiations de jeunes garçons, les pics de Sindou sont aujourd’hui un site touristique assez visité par les touristes étrangers.
Le site s’étend sur 7 km de long et 1 km de large. Les Pics qui sont des grès de rocher, se situent à 400 m d’altitude par rapport au niveau de la mer et se seraient formés après le retrait de la mer du précambrien il y a en 600 millions d’années. Selon le témoignage de touristes, les Pics de Sindou sont le site du paysage naturel le plus étonnant. Les pics de Sindou sont tout à fait spécial car créés par les roches de calcaire sur un côté d'une vallée très fertile qui ont été érodés dans des structures de type stalactite étroites.



                       
  Si vous avez le gout de l'aventure , n 'hésitez pas à y aller par  le plan ci dessous.