Les chitoumous qui sont les chenilles de karité sont des prédateurs
spécifiques de l’arbre de karité. Ils sont issus d’un papillon qui pond
des milliers d’œufs qui évoluent successivement pour devenir des larves.
C’est de l’étape larvaire qu’ils évoluent pour devenir des chenilles.
C’est lorsqu’ils évoluent en tant qu’insectes chenilles qu’on peut les
consommer. Les chenilles se nourrissent exclusivement de feuille de
karité et apparaissent chaque année à la même saison, (en hivernage
sur l’arbre de karité). La spécificité c’est quand le fruit du karité
est fini sur l’arbre que les chenilles apparaissent.
Le cycle est bien régulé. Vers le mois d’août-septembre, les chenilles commencent à descendre de l’arbre pour s’enfouir sous terre où ils vont continuer leur cycle, c’est-à-dire, se transformer en crystalite puis en papillon et c’est ce papillon qui va encore pondre les œufs à une période indiquée tout juste pendant la saison des pluies et ça éclot et le cycle se poursuit.
Les chitoumous contiennent une quantité non négligeable de liquides qui renferment des substances dissoutes comme les vitamines liposolubles (vitamines A, D, E et K). si l’on prend 100 grammes de parties comestibles, pour ce qui est de la couverture énergétique, elle fournit 430 kilocalories à l’organisme. La teneur en protéine varie de 53,9 à 63 grammes. C’est donc dire que sa teneur dépasse celle en protéine du poulet rôti et même de certains autres aliments qu’on consomme. Ce qui les devance, c’est surtout le poisson séché pilé avec les arrêtes qui a une teneur en protéine plus élevé que les chenilles.
Les chitoumous renferment d’autres nutriments tels que la vitamine A dont la teneur est d’environ 20 microgrammes de rétinol. Cette vitamine intervient dans la croissance, la vision pour ce qui concerne l’intégrité de l’œil et aide à lutter contre les infections et intervient dans la protection de la peau et de l’épithélium. Il y a aussi le calcium dont la teneur est de 185 milligrammes et le fer (2,3 milligrammes). Le principal nutriment dont il est question, les protéines, sont ceux qui participent à tous les aspects de la vie de l’homme : l’aspect structural, biochimique et énergétique. Compte tenu de cette richesse des chenilles en protéïnes, elles sont à proscrire chez un sujet souffrant chroniquement de la goutte. On sait que la carence en protéïnes alimentaire provoque des troubles de croissance, réduit l’appétit et provoque le kwashiorkor, d’où l’importance de la consommation des chenilles.
Le cycle est bien régulé. Vers le mois d’août-septembre, les chenilles commencent à descendre de l’arbre pour s’enfouir sous terre où ils vont continuer leur cycle, c’est-à-dire, se transformer en crystalite puis en papillon et c’est ce papillon qui va encore pondre les œufs à une période indiquée tout juste pendant la saison des pluies et ça éclot et le cycle se poursuit.
Les chitoumous contiennent une quantité non négligeable de liquides qui renferment des substances dissoutes comme les vitamines liposolubles (vitamines A, D, E et K). si l’on prend 100 grammes de parties comestibles, pour ce qui est de la couverture énergétique, elle fournit 430 kilocalories à l’organisme. La teneur en protéine varie de 53,9 à 63 grammes. C’est donc dire que sa teneur dépasse celle en protéine du poulet rôti et même de certains autres aliments qu’on consomme. Ce qui les devance, c’est surtout le poisson séché pilé avec les arrêtes qui a une teneur en protéine plus élevé que les chenilles.
Les chitoumous renferment d’autres nutriments tels que la vitamine A dont la teneur est d’environ 20 microgrammes de rétinol. Cette vitamine intervient dans la croissance, la vision pour ce qui concerne l’intégrité de l’œil et aide à lutter contre les infections et intervient dans la protection de la peau et de l’épithélium. Il y a aussi le calcium dont la teneur est de 185 milligrammes et le fer (2,3 milligrammes). Le principal nutriment dont il est question, les protéines, sont ceux qui participent à tous les aspects de la vie de l’homme : l’aspect structural, biochimique et énergétique. Compte tenu de cette richesse des chenilles en protéïnes, elles sont à proscrire chez un sujet souffrant chroniquement de la goutte. On sait que la carence en protéïnes alimentaire provoque des troubles de croissance, réduit l’appétit et provoque le kwashiorkor, d’où l’importance de la consommation des chenilles.
Bon appétit à tous ceux qui en consomme et à ceux qui ne l’ont jamais fait, essayez, c’est sûr que vous allez aimer.
Si vous êtes en visite au Burkina Faso, n’oublier d’en apporter à vos amis.
Si vous êtes en visite au Burkina Faso, n’oublier d’en apporter à vos amis.
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